About last night

Notre maison, ses habitants nomades ou non, les moments de la vie quotidienne qu'on essaie de rendre précieux en les immortalisant, des séances photo improvisées ou organisées... Tous ces petits moments qui font battre le cœur de la maison. C'était une soirée comme les autres, ou peut-être pas. About last night.

Douceur parisienne

Je vous ai déjà dit que je n'aime pas spécialement l'ambiance tourbillonnante qui règne à Paris. C'est pour cela qu'il y a quelque temps, j'ai pris l'habitude de rentrer en Picardie pour le week-end. Mais j'ai été surprise ces dernières semaines, non par le Paris by night, mais par le Paris by dimanche, si je puis dire.

Pour que notre amour demeure

À ton départ, j'ai récupéré ton porte-monnaie (cette petite bourse qui renfermait un bracelet que je t'avais offert) : il reste 4,51€. Comme je l'ai écrit dans mon carnet, ils seront à « but émotionnel et symbolique ». J'ai utilisé des pièces pour brûler un cierge, j'en ai données à certains mendiants qui m'ont touchée, j'ai laissé deux pièces dans une exposition. Je m'étais dit que j'irais déposer la dernière où tu es aujourd'hui. Il me reste une vingtaine de pièces et je décide d'entreprendre un « pèlerinage » dans les principaux lieux où nous nous sommes aimés.

Renée

Un mercredi de février en Picardie. Parlons de projets, de sentiments, d'avenir, de nous. Cuisinons. Photographions. Chantons. Rêvons.

Oui

13 février, quelle date bien trouvée pour organiser un mariage et fêter l’amour de deux êtres. La pluie et le froid sont au rendez-vous en cette journée festive au cœur de la campagne picarde.

Inspiration Vivian Maier

Dans mon précédent article, je disais que le 13 juillet 2014, j'avais fait une surprise à mon meilleur ami en l'emmenant dans un cinéma au nom d'un de ses auteurs préférés: le Balzac. J'avais choisi ce cinéma seulement pour le nom qu'il porte, sans même regarder les films qui y étaient projetés.

Temps parisien

Paris n'est pas une ville qui me correspond vraiment. Je m'y sens bien car une grande partie des gens que j'aime y vit. Mais je m'y sens aussi assez étrangère et insignifiante. J'ai l'impression que nous sommes tous des étrangers les uns pour les autres dans la capitale. Nous sommes tous de passage. Pas fixes. Tout va vite, nous n'avons même plus le temps de nous regarder, ni de nous écouter.